Informations sur le scénario
Stan est New Yorkais, ayant vécu toute sa jeunesse dans un appartement vétuste à Bedstuy, quartier de Brooklyn. Sa famille ? Une mère immature, parfois malveillante, qu'il soupçonne tapiner sans qu'il n'ai jamais eu de "preuves", se basant uniquement sur un comportement qu'il juge lascif. Une grande soeur de cinq ans de plus que lui, en perpétuelle conflit et compétition avec leur mère. Aînée avec laquelle il s’est toujours battu, disputé. Elle lui a mené la vie dur durant toute son enfance, devant l'indifférence de parents non concernés ; moqueries, violence verbale et physique, plantant la mauvaise graine de la misogynie que Stan a malheureusement développé au fil du temps. Pour ne rien arranger, son père, vrai queutard machiste, stoner, agressif, n'a fait qu'empirer les choses ; défendant constamment sa soeur, lui faisant remarquer qu'il n'était qu'une "tarlouze" -ses mots, dès le plus jeune âge. Une pédale, ouais, et autres insultes du même acabit. Il n'avait qu'à s'défendre, au lieu d'se plaindre. Se faire martyriser par une fille, son aînée, en l’occurrence, apparaissait tel un signe de faiblesse pour ce paternel abusif.

Gamin solitaire, jugé turbulent, méchant, Stan a grandi dans la haine. Haine de soi. Haine des autres. Ses mécanismes de défense étant la colère, l'hostilité, la violence. Et la drogue. Beaucoup, beaucoup de drogues. Fumeur de weed en quantité astronomique -ayant commencé en volant sur la consommation de son géniteur. Celui-ci finissant par le découvrir sur le fait. Première mise à pied du domicile familiale, à quatorze ans. Foutu à la porte après une dérouillée monumentale. Repris un mois plus tard à cause des services sociaux sur le cul.

In progress.

Stanley se sert et se cache derrière son activité de dealeur de weed pour arpenter les bars gay, prétendant que la plupart de ses clients s'y trouvent. Trop effrayé à l'idée de croiser quiconque le connaissant, la bande de son ancien "boss", Ilich le russe, en particulier. Il ne couche et ne flirt (à part Syd) en partie qu'avec des escorts, qu'il paye en cash ou en dope. Ses habitués lui garantissant une plus grande discrétion.    

Chronologie


Les relations du personnage


Petit plus HRP